Convergence des données

Nous réunissons sur une seule plateforme de connaissances des disciplines et des technologies jusqu’ici cloisonnées, dans le but d’améliorer la collecte, l’analyse et l’utilisation des données afin d’en tirer plus rapidement des enseignements visant à améliorer la vie des patientes et patients. Nous appelons ce processus la convergence des données.

Le traitement des données – en l’occurrence la convergence – constitue la prochaine étape de la révolution numérique dans le domaine de la santé. Nous allons de l’avant grâce à une infrastructure de données qui permet un partage plus efficace des connaissances et une meilleure compréhension à travers toute l’organisation. L’objectif? Créer une plateforme permettant de tisser de nouveaux liens et ouvrant de nouvelles possibilités pour mieux traiter les maladies.

La véritable capacité de transformation ne provient pas des données elles-mêmes, mais des connaissances que nous en tirons.

Chez AbbVie, de multiples équipes de scientifiques, de techniciens et de spécialistes des données élaborent en permanence de nouvelles méthodes de collecte, d’analyse et d’utilisation des données afin de faire une réelle différence dans la vie des patientes et patients. Nous sommes fidèles à une culture dans laquelle les données sont partagées entre les différentes fonctions afin que toutes et tous en profitent. Voici l’un des outils que nous développons ensemble pour que les médicaments parviennent plus rapidement aux patientes et patients:

AbbVie R&D Convergence Hub (ARCH)

Grâce à ARCH, nos scientifiques peuvent tirer des conclusions à partir des données disponibles. ARCH réunit différents ensembles de données en un seul endroit, complète ces données en leur intégrant diverses connaissances et utilise différents outils d’information qui nous permettent de poser de nouvelles questions et d’en tirer des enseignements de manière plus efficace. ARCH nous permet de créer des tableaux de bord personnalisés afin d’apprendre de nouvelles choses sur les maladies, de découvrir de nouvelles indications pour les traitements existants et de mieux comprendre les bases moléculaires d’une maladie. Ce sont en principe des données démocratisées.